Inscris-toi dans un lycée, incarne un personnage et fais-lui vivre plein d'aventures ! |
| | Juste, différente | |
| | Auteur | Message |
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Lucy Admin
Messages : 302 Date d'inscription : 24/08/2012 Age : 24
| Sujet: Juste, différente Mar 17 Sep - 20:25 | |
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Dernière édition par Lucy le Mar 28 Jan - 21:22, édité 3 fois | |
| | | Lucy Admin
Messages : 302 Date d'inscription : 24/08/2012 Age : 24
| Sujet: Re: Juste, différente Mar 17 Sep - 20:35 | |
| Chapitre 1 : - Spoiler:
-Pchhhhhhhiiiiiiiiiiittttttttttttttttt!!!!!!!!!
Ce doux son me donnait de la chair de poule. Ne vous méprenez pas, je ne parle pas de ce jet d’eau qui, je vous l’accorde faisait un bruit clairement agaçant, mais de cette chanson… Leave Out All The Rest.
Si vous me répondez que vous ne connaissez pas, je vous envoie six pieds sous terre ! Bien sûr, ils sont pas si connus mais j'estime que ne pas connaître Linkin Park signifie votre arrêt de mort, c'est comme si vous ne connaissiez pas… Je sais pas moi, euhh… Dir en grey ? Et là tu te dis que t’es tombé chez une folle ! Pas du tout, je suis juste un peu… bizarre ? Par exemple, là je pense aux odeurs enivrantes de ma douche. Cela sentait, légèrement le caramel et… la lavande, je crois…
Effectivement, je réfléchissais bêtement à l’odeur de mon gel douche, au lieu comme toute personne ayant un tant soit peu d’ intelligence de : soulever le rideau, étendre mon bras le plus loin possible, attraper l’objet fatidique, le soulever et respirer ce mystérieux parfum ! Et bien non, moi je réfléchissais ! Pendant mes bagatelles stupides, j'entendis de bien légers pas, trop légers pour appartenir aux talons aiguilles de ma génitrice. Oh, je venais de réaliser que ses pas devaient appartenir bien évidemment a mon dieu vivant !! Guère gênée, je restais, nue, dans ma douche. Après tout, MOI je le considérais comme un grand frère, bien que nous ayons le même âge il dégageait quelque chose que je n'avais pas… la maturité ! Toujours calme, l’homme même de la situation, je pensais à lui tendrement quand un léger tambourinement se fit entendre: deux petits coups, pause, deux petits coup. Notre code fonctionnait toujours. Je dis ça, mais il ne datait que de quelques semaines. Cela devaient être deux, trois, jours après notre première rencontre !
- «Reila ? Je peux entrer, tu es là ? » dit-il de sa charmante voix calme et posée.
Et ouai il était comme ça, tendre et attentionné. Ma idée première, à savoir : le laisser en plan a cause de sa stupide question « tu es là », échoua dans les secondes qui suivirent. J'avais laissée allumée la chaîne hifi !! Et comme à mon habitude je l'avais mise à fond les tympans, trahie de la plus barbare des façons : par moi-même. Je me décidai à me « vendre » et criai du voix moqueuse, un peu atténuée par l’eau, que bien évidemment je n'avais pas jugé utile d’éteindre.
- « personne n’est là, mais dans sa très grande miséricorde, Reila, surnommée par son meilleur ami « Leila » qui n est enfaite que son prénom prononcé en japonais, m’as laissée un bout de parchemin sur lequel est inscrit que son bien-aimé…frère est autorisé a entrer. Quel nom avait vous?» Tout cela dans un souffle ! Très fière, je guettai sa réponse qui ne tarda pas a arriver.
- « Gente damoiselle, je répond au nom de Lysandre, je suis effectivement le…frère …» je remarquée qu’il tiqué sur ce mot (je savais que Lys’ espérait que je le considère plus comme mon amant que comme mon frère : à mon grand désarroi) « …de mademoiselle « Leila ». »
Sa voix étais pompeuse et drôle, je savais qu’il ne faisait cela que pour moi ! Car ce n’était pas son genre, je l'adorais pour ça et pour tout se qu’il comprenait. Avec mon prince pas besoin de superflu, il me connaissait au plus profond de moi ! Et c'était je le crois assez réciproque, à mon plus grand bonheur. Alors qu’il entrait, je l’informai de l'endroit où j’étais et comment j’étais mise… il augmenta légèrement le volume. Oh, mÔssieu n’avait pas oublié de prendre sa guitare ! Formidable, à noter dans son carnet !! Au moment ou il avait augmenté le volume j’avais compris, et m’étais mise a chantée en m'époumonant lors du refrain, je savais que Lys’ savait presque tout jouer à la guitare. Ce que j’ignorais, en revanche, c’était le niveau auquel il étais confronté chaque jour. Lysandre me parlait assez régulièrement de son meilleur ami Castiel, mais je ne l’avais jamais vu, bien que je l'aie souvent entendu déposer Lys’. Bref, à chaque fois il disparaissait. Il paraissait que monsieur « n'aimait pas les «bourges» puisque ses fameux parent qui ne bran**ent jamais rien, en étaient, eux aussi », il paraissait aussi qu’ils partaient tout le temps en voyage, à l’autre bout du monde ! Alors que je sortais doucement de la douche à la fin du morceau, je demandai à Lysandre de m’apporter un ensemble de maillot de bain.
- « Tiroir de droite, commode de gauche » criai-je.
Emportée par son solo de guitare il ne m’avait pas entendue, de toute les façons c’était mieux ainsi, puisqu’il m’aurait forcément parlé de Castiel et il m'aurait dit un truc du genre :
- « Si Castiel avait était là, il t'aurait forcément rembarrée. Ou bien il aurait fait remarquer quelque chose de pas très correct. Tu es sûre de vouloir le rencontrer ? »
J'aurais haussé les épaules. Moi ? Me faire rembarrer ? Jamais de la vie ! J'avais ça dans le sang !
« non, c’est ta carapace, Reila. »
Voilà le dialogue !
Vous l'avez compris, dans la réalité ça ne s'est pas passé comme ça. Alors que je le laissais à son solo, je me dépêchai d'enrouler une serviette autour de mon corps mouillé, je montai dans ma chambre prendre une légère robe d’été et repris le chemin de la salle de bain, qui se trouvait au rez-de-chaussé. Peu après, je m’assis à côté d’un Lysandre tout essoufflé. Alors que je lui disais qu j’étais sincèrement touchée quand il jouait et que je ne doutais pas de sa virtuosité, je lui remarquai un léger papillonnement dans les yeux. Heureuse de voir cela, ce qui était très rare ! Je le pris dans mes bras ce fut là mon erreur : fatal ! Au départ, lui aussi m’enlaça puis il me prit le menton entre le pouce et l’index et le leva. Rien de très surprenant a cela, j'ai d’abord cru qu’il voulait me parler, mais quand il murmura de sa voix sensuelle :
- « Reila... »
Alors, doucement et malgré moi ses lèvres se posèrent sur les miennes. Horrifiée, je le repoussai de toutes mes forces. Il recula, à peine. Et je l’apostrophai vertement, balbutiant sous l’effet de la colère : "-Lys' comment... comment peux-tu me faire une chose pareille... Va-t-en. S'il te plaît." Je le suppliais, à présent. L'éclat que j'avais entraperçu dans ses prunelles vaironnes venait de disparaître aussi soudainement qu’un battement d'ailes de papillon et son masque d'impassibilité réapparut. Aussitôt, je m'en voulus. Avais-je le droit de le priver de son bonheur, alors que lui-même me l'avait offert ? Certes, je ne l’aimais pas autant que lui m'aimait, du moins pas dans le même sens ; mais je l’aimais, non ? N'est-ce pas le plus important ? Ne pouvais-je pas le lui faire comprendre de façon subtile? Non, bien sûr, il ne comprendrait pas, il ne voudrait pas comprendre, il ne renoncerait pas, j'en étais absolument certaine ! Lorsque je voulu relever la tête, je fus prise de vertige. Pas déjà ! Ils avaient enfin fini par me lâcher les basques, et voilà que ce baiser les a réveillés ! Laissant Lys' en plan, je montai les marches, quatre à quatre, et m'enfermai dans mon antre, ma vie, ma chambre. Une fois la porte verrouillée, la musique de la harley' de Lysandre partie, j'enfouis ma tête sous mon oreiller, vaine tentative de les chasser. Les simples d'esprits vous diraient que l’on peut s'y "habituer" !! Ce ne sont que balivernes...!! Demandez, par exemple à un drogué de ne plus consommer de drogue. Peut-être pensez-vous que le surlendemain, il viendra vous voir en souriant de toutes ses dents en vous disant : "Alors voilà j'ai arrêté et c’était facile ! Ce n'est pas comme si j'y étais accro et que je ne pouvais plus m'en passer." Je pense au contraire qu'il est en train de tuer une vielle dame afin de lui prendre son sac dans l’espoir qu'elle n'ait pas dépensé tout son argent pour pouvoir à nouveau s’acheter de la drogue. Pendant une période, moi aussi j'ai été une dépendante... À la colère : je passais mes journées à m'énerver comme si je ne pouvais plus contrôler quelque chose dont je ne connaissais jusqu'alors pas l'existence, brutalisant les gens à la moindre broutille, à la moindre parole malheureuse, enfin j'étais ainsi du matin jusqu'au soir. Un jour cependant j'avais trouvée une perle : les somnifères... Du coup je m'en abreuvais... l'état dans lequel je me trouvais était très particulier... comme dans une bulle sauf qu'on ne se rend pas compte qu'on si trouve. Je finissais par devenir addict.... J'eus la bêtise de croire que maman ne s'apercevrait de rien. Effectivement, entre coups (de poing et de pied) et l'inertie dans laquelle j'étais plongée, je me demande comment elle a deviné, pensai-je amèrement. Mon état a duré pendant plusieurs semaines et ma mère a fini par le remarquer. Elle ne m’a rien dit. Pas un seul mot. Pas une seule critique. Cependant un matin ils avaient tous disparu. Elle voulait me tester. Étais-je plutôt une accro récupérable ou irrécupérable ? Au début, je n'ai rien dit, j’ai fait "genre" comme on dit mais, je dois avouer que je n’ai tenu guère plus de quelques heures ! J’ai eu beau crier, supplier, et larmoyer, elle n’a rien voulu entendre et quand j’ai joué ma dernière carte, celle de « et mes souvenirs, as-tu pensé un seule seconde que c’était à eux ?! » Quand elle a levé les yeux au ciel j’ai su que j’avais perdu, j’ai alors claqué la porte de ma chambre et après quelques heures, repliée sur moi-même avec des airs de martyr ridicules, elle m’a prise dans ses bras et m’a doucement bercée. Quelques jours plus tard, elle m a emmenée chez un spécialiste qui a jugé mon état « déplorable, cependant pas impossible à rétablir. » Il a longuement déblatéré sur les remords que j’aurais a la fin de mon cursus scolaire dont les notes me montreraient toute l’étendue de ma bêtise. La seule pensée qui m avait habitée à cet instant était tout bonnement : A-B-R-U-T-I Mais il avait raison sur un point avec la moyenne que j’avais, je ne saurai certainement pas quoi faire après le bac... penser au bac me rappelait Lys'. Une envie de pleurer m’étreignit alors. Pourtant je ne pleurais pas souvent, pour ne pas dire jamais, sauf durant ces longs mois hivernaux qui avaient été ponctués par ma prise fréquente de différents médicaments. Dès lors qu’une larme tombe sur ma joue et que ma mère la surprend, son doux visage affiche un air si torturé que je ne peux que m’en vouloir de la faire souffrir. Alors je ne montre plus mes sentiments. Décidant de me changer les idées, je réfléchissais à la meilleure manière de m'habiller pour le lendemain, 1er jour dans un nouveau lycée ! Le cinquième en dix ans. On pourrait penser que je sois la plus sociable des cinq dernières générations de l’histoire. Que le ciel s'en garde bien ! Je n'avais qu'un seul ami : Lysandre. Je devais, à tout prix, me réconcilier avec lui. Il était le seul à me comprendre sans me juger. À aller au-delà des apparences. En cet instant je préférais la solitude... Je savais, et voyais que cela peinait ma mère, mais jamais au grand jamais je ne voulais changer !
Je ne sais pas moi, pour moi les filles sont tout le temps à faire des histoires pour un oui ou un non, elles sont obsédées par l’image qu’elles doivent renvoyer aux monde, ou pour plaire à l’homme « de leurs rêves secrets » bien sûr ! Qu’elles quitteront deux jours plus tard. Les garçons, si rien « de tout cela » ne s’était produit, j’aurais certainement eu plaisir a converser avec eux… mais ce qui est fait, est fait. Alors, il ne sert à rien de remuer le couteau dans la plaie, ma plaie. Ma vie ne se résume pas à grand-chose. Quelques mots tout au plus :
Chambre, mangas, J-rock !
Un peux plus d’un je vous l’accorde ! Mais c’est vrai, ces mots sont toute ma vie ! Un peu plus même. Ma chambre s’accorde à merveille avec le mot antre, elle est mon antre. Ma chambre était bien plus spacieuse, que celle d’un lycéen classique disons, en raison du salaire exorbitant qu’obtenait ma mère chaque mois grâce à son agence de mannequinat. Je grinçai les dents devant tant de bêtise. Quand les mots « taille correcte » avaient franchi les lèvres pulpeuses et charnues de ma génitrice, j’avais eu la ferme attention qu’elle ne me trompait pas! Las, je suis maintenant convaincue pour le reste de ma vie : je n’écouterai plus jamais ma mère ! Mon regard, continuait de vagabonder le long de ma chambre. Il effleura mes gigantesques posters de « The GazettE », « AKB48 » et de mon prince charmant… il devint plus perçant quant il observa mes murs, ou devrais-je dire ma peinture, elle était plutôt atypique : noir jusqu’au milieu du mur, puis elles se décuplant en plusieurs bandes alternant rouge, gris et puis blanc. Il observa vaguement mes commodes blanc, banc laqué en plus classe. Je souris à cette phrase empruntée a ma bible mangaka, « le carnet de Théo », une vraie mine d’or ! Bon, la phrase du départ n’avait plus grand-chose a voir avec la mienne, je l’avait arrangée à ma sauce… ce que mon regard analysa le plus longuement c’est à n’en pas douter : mon lit!
Il était grand, titanesque même ! Le bois était, me semble-t-il, du bois de… chêne. Il avait des reflets… rouges, un magnifique ornement qui formait un scène Shakespearienne, la mort de Roméo et juliette. Pas très gaie certes mais c’est moi qui l’avait demandé ainsi. Les histoires d’amour impossible m’avaient toujours passionnée parce qu’elles avaient un goût de rêve, d’inaccessibilité que je ne pouvais qu'admirer ! Bref ce lit dégageait une aura très particulière, un peu comme… moi… je fermai les paupières et secouai ma tête, je ne devais pas prendre mes différences comme un défaut mais comme des qualités… du moins c’est ce que répétait sans cesse mon médecin… psychologue, plutôt. Je laissai ces idées se perdre dans le dédale de mon cerveau et me concentrai sur un détail bien plus important : j'étais HS niveau encre à dessin. J’inscris ma redoutable et impardonnable faute sur mon « mémo » dénommé : mangaka.
Mon rêve !! Je rêvassais quand je me sentis avoir envie d’écouter une belle et… douce?
Musique, je m’allongeai sur mon lit, enfouis ma tête dans l’oreiller, et sans plus attendre me laissai envouter par les bras délicats de Morphée.
Ma musique… ?
Sexion d’assaut : la tache…
Moi, quoi.
Je pense pas qu'il y ait besoin d'être droguée pour ça. Ça peut être simplement dans son caractère (même si elle est assez calme par nature, elle peut s'énerver très rapidement et être assez "violente" dans ses propos quand s'est le cas, par exemple)
Dernière édition par Lucy le Mar 17 Sep - 20:46, édité 1 fois | |
| | | Lucy Admin
Messages : 302 Date d'inscription : 24/08/2012 Age : 24
| Sujet: Re: Juste, différente Mar 17 Sep - 20:43 | |
| Chapitre 2 :
Je me réveillai (soudainement) et me levai d’un bond (aérien) pour tout aussi rapidement attraper mon réveil, j’avais raison, mes pronostics étaient exacts ! Mon fichu réveil affichait bien et pile : 6h30!
Qui ? Dîtes-moi bien qui, un jour d’une rentrée, dans un nouveau lycée, arrive ou du moins se prépare en avance !? Personne! Même dans les mangas les mecs (…) les plus mignons arrivent en retard ! Soit dit en passant, ils tombent toujours (follement) amoureux des filles aux allures pseudo-1er de classe! Pseudo parce que par la suite… elle se débauchent chaudement, euh… je voulais dire RAPIdement! Oula voila que je commence à penser « amour », MOI!
Breeeef!
Bon, d’un autre côté je n’avais aucune chance de pouvoir grappiller quelques minutes de sommeil dans la mesure où ma mère allait arriver, que dis-je débouler d’un instant à l’autre et me crier que j’allais être en retard (oui, oui, avec deux heures d’avance…). Hors de question d’avoir droit à une de ses crises dont on ne voit pas le bout! Je me précipitai donc dans les escaliers, et atterris souplement sur le carrelage à damier, cimenté pour attraper dans le placard un peu trop haut, sauter à nouveau (avec agilité), m’emparée d’un jolie bol a poids rouge, tourner sur moi-même, ouvris le frigo, m’ empara d’une bouteille de lait frais en verser la moitié au moins dans mon meuge, le posa sur la table transparente, avant de le déposer sur la table, sans plus attendre j’ouvris le pain frai, de ce matin, le couvris de beurre avant de le tartiner de confiture, je m’assis enfin et eu le loisir d’enfourner, dans ma bouche, une pleine bouchée!
Le tout, n’avait duré que deux, voire trois malheureuses secondes!
Je me redressée sur ma chaise: ma mère arrivée.
Le regard éplorée, elle courée dans tout les sens et était déjà entièrement vêtue et prête … Où presque… Si vous considérez qu’un grand pull en laine rose bonbon agrémenté d’une sorte de visage noir (une très mauvaise imitation de barbara ou une fille de se gout là…il me semble ) était d’un bel effet… nous étions pas sur la même longeur d’ondes! mais au fond qu’est-ce que j’en avai à faire, après tous c’était elle la pro de mode pas moi pauvre et misérable fille et qui été convaincu que se slim noire ne lui allait pas du tout! Et que les chaussettes que j’étai sur d’avoir aperçu (a cœur rose) était tout à fait immondes ! Je détournée la tête a demi-écœurée. En apercevant mon visage, le rire cristallin résonna je la rejoint très vite, pas sur qu’ont riiez pour les mêmes chose, enfin. Dans le fond je l’aimai bien. « encore heureux, souffla ma petite voix (du mal il me semble) »
- Bonjours ma chérie, me salua-t-elle déjà debout questionna ma mère en se troublant imperceptiblement
-bin ouai répond-y-je ironiquement, tu t’attendais a quoi?
Et puis tout a coup je compris…
- Et tu ne devineras jamais comment cela c’est produit, je ne l’avai même pas programmé… il doit avoir un cerveau intégré continuai-je sarcastique à présent et c’en est dotant plus troublant que ce n’était pas ma chanson spéc’ rentrée, étrange n’est-ce pas ? Achevai-je carrément soupçonneuse.
Le rire devint nettement embarrassé… Elémentaire mon cher Waston.
1. Je me réveillai (soudainement) et me levai d’un bond (aérien) Les parenthèses sont inutiles ici, tu peux très bien dire "Je me réveillai soudainement et me levai d’un bond aérien". Je trouve même que c'est mieux, mettre trop de parenthèses casse le rythme ^^ C'est pareil pour la suite d'ailleurs :3 | |
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